Mike Cullen
Messages : 29 Date d'inscription : 28/01/2009
| Sujet: Mike Cullen [Terminé] Mer 28 Jan - 22:41 | |
| ~ • Carte D'identité • ~ Nom: Cullen Prénom: Mike Age:: 368 ans, 17 ans d'apparence Surnom: Humm j'en ai pas date et lieu de naissance: à Londres, Angleterre. Le 20 Juin 1641 Date et lieu de Transformation: à Londres, Angleterre, Le 25 Novembre 1658 ~ • On veut tout savoir • ~ Histoire: « Je naquis à Londres le vingt juin 1641, de l’union entre Elizabeth et Mike Sr. Masen. Mon enfance et ma vie à Londres furent des plus calmes et des plus heureuses. Mon père était un brillant avocat qui était parvenu à amasser un patrimoine familial tout à fait convenable, et ma mère s’occupait merveilleusement bien du foyer, comme il en était coutume à cette époque. Bientôt, la première guerre mondiale éclata et mon seul souci fut de constater qu’il ne me manquait qu’une année pour m’enrôler dans l’armée, car il fallait absolument être âgé de dix-huit ans pour s’y engager. J’aurais parfaitement pu passer pour un homme plus vieux, mais je n’en eus pas l’occasion. En septembre 1658, l’épidémie de grippe espagnole décima des villes entières, et elle réclama rapidement ma vie, ainsi que celles de mes deux parents. Le médecin chargé de s’occuper de ma famille s’appelait Edward Cullen. Il avait une excellente réputation, et elle était méritée, sans doute aucun. Je l’entendais fréquemment parler à ma mère, il la rassurait en lui répétant que tout se passerait bien, que nous serions bientôt tous remis, et que cela resterait un horrible souvenir. Toutefois, je n’étais plus capable de percevoir quoi que ce soit, lorsqu’elle lui demanda de me sauver, moi et mon petite frère jumeau Tyler. Edward me conta, plus tard, qu’elle l’avait expressément prié de le faire, comme si elle avait compris qu’il avait cette faculté, la capacité de nous sauver pour l’éternité. Ce fut son dernier souhait, car elle expira son dernier souffle dès l’instant où il eût donné sa promesse. Il hésita longuement, cependant. Eward se sentait seul, assurément, mais il s’était toujours défendu de subir sa condition, et il craignait de me blesser, de m’infliger les souffrances qu’il avait connues lors de sa propre transformation. Un soir, cependant, il s’approcha de mon lit et me murmura qu’il avait trouvé le moyen de m’aider. Immédiatement, j’en éprouvai une délivrance, une force me poussait à avoir confiance en lui. Et, enfin, il me mordit. Le venin se répandit lentement dans mes veines, attisa un feu violent sous la moindre parcelle de peau, jusqu’à ce que mon cœur ne cesse de battre pour toujours. Ce fut brutal et douloureux, mais la partie la plus complexe revint à Edward. Lorsque nous, vampires, goûtons au sang humain, il est terriblement difficile de s’arrêter, pour ainsi dire impossible. Pourtant, il en eut la force, et je me transformai enfin en une créature immortelle. Puis, vint le tour d’Esmée, qui devint l’épouse de Edward et ma mère d’adoption. Le bien de sa famille fut sa seule véritable préoccupation. Je les quittai, néanmoins, pendant deux siècles. Je connus une période de rébellion, où je m’aperçus que la vie avec mes parents ne me suffisaient plus. Je goûtai au sang humain, alors que je m’en étais interdit jusqu’ici. Je revins voir mon frère en 1931. Nous nous installâmes au manoir en 1936. Nous ne nous mêlions pas aux autres lycéens. L’année dernière, cependant, mon regard tomba sur elle. Beverly. Elle nous épiait du coin de l’œil, assise à la table des plus populaires. Je connaissais bon nombre de choses sur elle, puisqu’elle était dans tous les discussions. Elle était attendue comme le messie, la sauveuse. Je ne lisais rien. J’en fus secoué, d’autant plus qu’elle vint s’asseoir à mes côtés en étant mon esclave et que son parfum était tout simplement des plus envoûtants. Pour la première fois, j’envisageai de tuer, de m’abreuver du sang d’une parfaite innocence. Je me montrai distant, probablement très impoli également, mais je ne voyais d’autres solutions. Je ne me confiai pas à ma famille, de peur que Tyler me prenne pour un faible. A mon retour, j’étais calmé, et je me permis de lui adresser la parole. Elle était si fascinante, je ne pouvais plus m’arrêter de penser à elle. Je lui sauvai la vie plusieurs fois, car elle est la personne la plus maladroite que je n’ai jamais rencontrée. Mais je commis également quelques erreurs. Beverly comprit que j’étais différent et, bientôt, elle devina ma condition de vampire. J’avais tenté de la tenir éloignée de moi, mais elle avait insisté, et elle gagnait toujours. J’essayais de l’effrayer, de lui prouver à quel point j’étais dangereux, mais je n’avais plus la force de la quitter. Je la voulais pour moi. Je l’aimais. Caractère:« Ma personnalité est si complexe, si brusquement changeante. Je ne pourrais moi-même vous la décrire avec une précision infinie. Je vais néanmoins tenter de justifier cette inconstance, m’appliquer à vous faire comprendre l’éducation de mes parents, m’évertuer à vous conter bon nombres de mes réactions. Vous saisirez alors, peut-être, une infime partie de mon être. Bien, puisque ma mère, Esmée, m’a fréquemment répété qu’il était impoli de fanfaronner, je commencerai avec mes défauts. J’aurais apprécié être plus constant dans mes humeurs, savoir les contrôler avec une maîtrise toute définie. Il est vrai que je feins parfaitement le calme et la sérénité. Il ne s’agit que d’apparence, cependant. Au fond de mon être, tout menace de bouillonner et de se briser instantanément ; un mot est capable de me déstabiliser et, si je n’en laisse rien paraître, la plaie n’en est que plus douloureuse. Il m’est difficile d’en parler. Bien que je ne sois pas ravagé, je peux d’ailleurs affirmer avec sincérité que je suis heureux dorénavant, quelques cauchemars refont instamment surface et rouvrent une énième cicatrice. Je suis taciturne. Eloigné de toutes présences parfaitement familières, je me terre dans un mutisme et observe, écoute avec attention. Indépendant et autonome depuis mon plus jeune âge, le silence est pour moi une bénédiction, véritablement indispensable. Si je ne considère pas ce trait de mon caractère comme un défaut, il m’est évident que mes interlocuteurs apprécient rarement ce manque d’enthousiasme. Pis encore, il m’arrive de m’assombrir promptement lorsque l’on m’interrompt dans l’une de mes activités favorites — mes passions premières sont la musique et la littérature — ou si l’on s’en prend à une personne qui m’est chère. Mes colères sont noires, souvent plus dévastatrices qu’un ouragan. Néanmoins, je suis bien loin d’être associable, je possède d’agréables qualités et je connais les bonnes manières ; ce qui fait de moi une personne parfaitement à l’aise en société. Aujourd’hui, j’affirme que l’éducation de mes parents a porté ses fruits et que, si je suis le jeune vampire que je suis c’est bien grâce à eux. Je ne prends jamais une décision à la légère, puisque je me refuse la moindre erreur. J’ai de l’ambition et je suis tenace. Je suis calme. Calme, si l’on ne s’approche pas trop près de ce qui m’appartient, car je sais me monter affreusement protecteur, surtout lorsqu’il s’agit de mon amour, Beverly. Avec cela, je peux sans doute ajouter que j’ai du courage ; bien que je fanfaronnerais ouvertement, dans ce cas. Vampires, nous possédons des capacités dont les êtres immortels sont totalement dépourvus ; je n’ai donc aucun véritable mérite. Cela dit, j’accepte de vivre à deux pas d’êtres humains. Il faut du courage pour cela, de la témérité, de la maîtrise. Et, s’il m’arrive de douter de tout, je suis confiant la plupart du temps. Je sais de quoi nous sommes capables. Tout se passera bien. Physique:Je possède un visage d’ange, un visage possédant des traits encore très juvéniles pour mon âge. Ma beauté a quelque chose de fragile et à la fois de nostalgique, comme si j'avais déjà trop vécu, ou qu'il ne fallait pas que j'en vive plus. Mon regard se perdant dans le vague pourrait rendre n’importe qui totalement accro à moi, du moins, n’importe quelle fille. J'ai quelque chose dans mon regard, oh, ça n’est pas un jeu de séduction, un tour machiavélique que j'aurais inventé pour séduire, oh non. J'ai aussi quelque chose de fragile mais pas dans mes yeux. Dans mes yeux il y a de la dureté, du mépris, de la colère et de la haine, mais aussi comme si j'étais perdu au milieu du néant. Malgré mon âge on dirait bien souvent que je sort du lycée. Mes manières sont encore empreintes à des gestes de l’enfance, et mes mouvements d’humeur, lorsque j'en ai mais je parvient à les maîtrisés, ont tout d’une crise d’un enfant, mais avec les conséquences d’un homme adulte doté de "pouvoirs". Je déteste être mal vêtu, tout comme je déteste la pauvreté, du moins être pauvre, les autres je m'en moque. Aussi vous ne me verrez jamais sans un costume italien ou un vêtement ultra chic décontracté. Mon visage blafard et marmoréen sur lequel un fin sourire narquois s’était dessiné. Les cernes trahissait ma nuit blanche Le regard d’un azur profond où sentiments insaisissables étaient ainsi exprimés. La beauté n’était pas le mot par lequel on pouvait me qualifier au mieux. Je n’étais pas désagréable à regarder, mais n’avait rien qu’un apollon puisse envier. Non, j'avais ce truc infime dans le regard, cette étincelle, ses gestes précis, ma voix suave et séductrice qui jouaient en ma faveur. J'avais un certain charme, qui plaisait ou pas.Des lèvres rosées, image même de l’adolescence, par lesquelles des mots autant savoureux que douloureux pouvaient s’échapper. J'étais de grande taille, sans pour autant être imposant. Mon poids s’accordait avec le reste sans aucune rigueur pour la conserver ainsi. Mon costume ne le laissait voir, mais mon corps était meurtris de cicatrices et autres blessures diverses qui me rappelle des évènements tantôt dramatiques, tantôt insolites qui se sont déroulé dans ma vie déjà tant mouvementée.Je passait une main dans mes cheveux châtains foncés.Des mèches rebelles s’échappèrent, lui donnant un air « décoiffé mais pas trop ». L’apparence, c’était tout...je fascinais, plusieurs personne essayaient de copier mon style, moi je ne trouvais pas que j'en avais un, rien n'était calculé. Je sortais une cigarette mon onzième doigt comme j'aime le dire. Je mesure un mètre quatre-vingts, taille qui sort de l'ordinaire pour les hommes.Mon nez est plutôt court et fin; la bouche bien dessinée, mais un peu grande pour mon visage. Elle peut prendre un pli fort méchant ou extrêmement généreux, en tout cas toujours sensuel. Cela dit, mes émotions et mes attitudes se reflètent dans mon expression tout entière. J'ai un visage constamment mobile. Ma peau excessivement blanche et réflective, qu'il faut poudrer pour son exposition à tous les objectifs, quels qu'ils soient. Autres: Je lis les pensées des gens autour de moi. A part celui d'une personne ~ • et puis le Reste • ~ Prénom ou Surnom: Sabriina Age: 17 ans Sexe: F Comment avez-vous trouvez le forum? sur TSMGO Vos critiques sur le Design: J'aime pas trop, les coulerus sont bien mais j'aime ni le CSS ni la bannière Votre présence: 5/7 Votre RP: - Spoiler:
15 Décembre 1660
Mike s'essuyait la bouche. Ses yeux étaient secs pourtant il avait cruellement envie de pleurer. Sans qu’il sache pourquoi, sa veste lui semblait tout d’un coup trop lourde, sur ses épaules. Les mouvements de sa main gauche avait cessé d’être logique, c’était des tremblements discontinus. Le jeune homme contemplait ce qu’il avait fait avec tristesse et en même temps le sentiment de s’être planté sur toute la ligne. Qu’avait-il cru ? Qu’il réussirait à créer ce monde sans la moindre injustice en tuant ceux qui l’aimaient ? Il ne pouvait pas supporter leur vue.
Reposant sur le sol comme si elle était endormie, sa jeune amie avait le visage tourné vers lui. Ses joues étaient encore roses et il savait que s’il la touchait il sentirait encore sa chaleur contre sa peau glaciale. Vêtue d’une robe blanche, elle avait l’air d’une Ophélie. Qu’avait-il fait ? Son amie n’avait rien demandé. Elle était humaine,il avait soif elle était allé au lycée, et elle l’avait aimé avec soin. Ça n’est pas parce qu’elle était allé au lycée, pas parce qu’elle ressemblait comme deux gouttes d’eau à sa mère, mais qu’elle ne connaîtrait jamais sa triste destinée qu’elle méritait de mourir.
A l’entrée de la cuisine, le corps du père de son amie avait glissé lentement contre le mur où son corps l’avait poussé violemment. Mike ne s’était pas approché. En fait, il n’avait pas bougé. Seule ses lèvres avaient bougée comme si elle était dotée de vie. Le jeune homme ne savait pas exactement pourquoi il avait fait ça. Ou plutôt si, mais il ne voulait plus de cette raison, il ne pouvait pas l’accepter. Il avait tué son amie d’abord puis son père. Ce dernier n’avait même pas hurler, sa bouche s’était ouverte mais aucun son n’en était sortit. Mike ne lui avait même pas laisser le temps de crier. Ses dents l’avait frappé de plein fouet. Et c’est stoïque que le jeune homme l’avait regarder glisser contre le mur, mort.
Pourquoi avait-il fait cela ? Sûrement pas par jalousie envers son amie. Il l’adorait et lui passait tout ses caprices. De elle, il acceptait tout. Alors quoi ? Son père n’avait pas bien réagit lorsqu’il avait appris qu’il était un vampire, mais il n’avait pas fait de reproche à Mike, il savait que ça n’était pas de sa faute. Peut-être en avait-il voulu à sa fille de ne rien lui avoir dit, et d’être morte. Mike était venu ici dans l’intention de ne laisser aucun survivant. Il les avait tué parce qu’ils n’était plus utiles, parce qu’ils étaient des fardeaux, parce qu’il savait que s’ils étaient encore vivants, il ne pourrait pas faire ce qu’il avait à faire, qu’il n’aurait jamais la force d’exterminé tous les mécréants, tous les criminels et tous les hommes profanant la justice.
Depuis qu’il était vampire, il avait déjà tué maintes fois. Lorsqu’il avait tué son professeur, ça n’était pas la première fois qu’il tuait. Mais à chaque fois qu’il tuait, il savait qu’il perdait une partie de lui-même, il savait qu’il brisait son âme en deux, il savait que les regrets et les déceptions s’accumuleraient. Tout simplement il n’y pensait plus. Ça n’était pas facile. Lutter contre soi-même. Mais il y parvenait tout de même. Les tuer, ces enfoirés d'humains, ça n’avait pas la moindre importance, non, pas la moindre. Et idiot qu’il était il s’était imaginé que parce qu’il avait déjà tué, ça serait plus facile de tuer son père et son amie… idiot qu’il était.
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Ok by Rachel
Dernière édition par Mike Cullen le Jeu 29 Jan - 14:01, édité 9 fois | |
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